Règle n°1 : Les esclaves doivent être dévoués corps et âme à leur dominant. Chaque geste, chaque souffle doit témoigner de leur utilité. L’esclave n’existe que pour répondre aux moindres désirs et caprices de son maître ou de sa maîtresse, avec diligence et abnégation, sans attendre autre chose qu’un regard ou un mot d’approbation.
Règle n°2 : La souffrance de l’esclave est un hommage sacré au dominant. La douleur qu’il endure est une offrande, un acte de dévotion absolue qui magnifie la grandeur et l’autorité de celui ou celle qu’il sert.
Règle n°3 : Le silence est la parure des vrais soumis. L’esclave ne doit jamais parler sans y être autorisé. Un bâillon peut être employé pour rappeler à l’esclave que sa voix n’a d’utilité que lorsqu’elle est requise, renforçant ainsi son humilité et sa discipline.
Règle n°4 : Les esclaves doivent savoir attendre leur heure. Qu’ils soient confinés dans une cage ou relégués à un espace exigu, leur patience et leur immobilité sont une preuve de leur soumission et de leur disponibilité totale pour servir au moment choisi par leur maître ou leur maîtresse.
Règle n°5 : L’esclave est un objet de plaisir à disposition du dominant. Son corps, ses gestes, et chacun de ses orifices appartiennent entièrement à son maître ou sa maîtresse, prêts à satisfaire les moindres désirs et fantasmes selon la volonté qui s’impose à lui.
Note finale : L’esclave n’a pas de droits, seulement des devoirs. Sa seule raison d’être est d’élever le dominant par sa soumission parfaite, son obéissance irréprochable et son dévouement sans faille.
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