C'était un matin sombre, brumeux dans la forêt ou devais se retrouver Maitresse sady et lui. Damien, un soumis avide de sensations fortes, avait demandé un scénario de kidnapping "plus que réel". Il voulait être plongé dans une situation où il perdrait tout contrôle, livré à la merci de Maîtresse Sady. Ce qu'il ignorait, c'est qu'elle allait dépasser ses attentes de la manière la plus brutale.
Jour 1 : L'Enlèvement
Damien était conduit, les yeux bandés et les mains liées, dans un lieu inconnu. Chaque vibration de la voiture, chaque virage le plongeait un peu plus dans l'angoisse.
« Tu voulais une expérience réaliste ? Très bien. Retiens bien chaque seconde, car c'est tout ce qu'il te reste », déclare Maîtresse Sady d'une voix froide, presque moqueuse.
Arrivés à destination, il fut brutalement extrait du véhicule et conduit dans ce qui semblait être une cave humide. Un bruit de chaîne résonna lorsque ses poignets furent attachés à un vieux tuyau rouillé. L'air glaciaire mordait sa peau.
« Voilà ta nouvelle maison », ricana-t-elle. « Profites en, tu n'auras pas de meilleur traitement. »
Un bol d'eau froide et quelques croûtons de pain furent jetés sur le sol en béton. « Mange, et fais vite. Je ne supporte pas les lenteurs. »
Damien obéit, la tête baissée, ses mains tremblantes d'un mélange de peur et d'excitation.
Jour 2 : La Privation
La seule lumière dans la cave provenait d'une petite grille d'aération, permettant à Damien de deviner vaguement s'il faisait jour ou nuit. Mais la nuit, Maîtresse Sady s'assure qu'il ne trouve aucun repos.
« Oh, tu sembles fatigué, mon petit jouet ? Dommage. »
Avec un sceau d'eau glacée, elle aspergeait son soumis, provoquant chez lui des frissons incontrôlables. Chaque goutte qui glissait sur sa peau était un rappel brutal de son impuissance.
« Allez, pleure si tu veux. Personne ne t'entendra ici », dit-elle avec un sourire cruel.
À plusieurs reprises, elle s'amusait à se moquer de lui. « Tu voulais du réel, Damien. Alors, comment trouves tu cette immersion ? Pas trop dur de réfléchir avec des poignets enchaînés et un ventre vide ? »
Le Clou de l'Expérience
Le troisième jour, Maîtresse Sady arrive avec un regard encore plus sadique. Damien, affaibli, la regard avec un mélange d'espoir et de terreur.
« C'est l'heure, petit rat. Mais ne crois pas que ta souffrance est terminée. »
Elle le ligota fermement, les cordes enserrant chaque articulation, puis l'emballa avec du film plastique noir. Une fois solidement attaché, il fut jeté dans le coffre de sa voiture comme un colis vulgaire. Le moteur rugit, et la voiture s'enfonça dans la nuit.
Après ce qui semblait une éternité, ils arrivèrent dans une forêt obscure. Le froid était mordant, l'air rempli d'humidité et de silence. Damien fut tiré du coffre, toujours encordé et enveloppé, incapable de bouger.
« Bien, voici ta dernière épreuve », déclare Maîtresse Sady en sortant la cantine métallique argenté. « À l'intérieur se trouvent tes vêtements. Mais si tu ne te libères pas en cinq minutes, tu rentreras chez toi comme ça, nu, en proie au vent et aux salutations. »
Elle déchira brutalement le scotch sur sa bouche. « Prêt ? Top chrono. »
Damien, paniqué, commença à se débattre avec une énergie désespérée. Les cordes mordaient sa peau, chaque mouvement provoquant une douleur aiguë.
« Oh, regarde toi, pathétique et tremblant. Tu pensais que ce serait facile, peut-être ? Allez, amuse moi un peu, » dit-elle en croisant les bras, son rire résonnant dans la forêt.
Le Triomphe de l'Humiliation
Avec une volonté désespérée, Damien réussit à libérer ses mains, ses doigts ensanglantés par l'effort. Alors qu'il se précipitait sur la cantine, haletant, Maîtresse Sady éclata de rire.
« Bravo, Damien. Tu as gagné… le droit de retourner ramper devant moi. »
Il a ouvert la cantine pour trouver ses vêtements soigneusement pliés. Humilié, épuisé, mais étrangement satisfait, il s'habilla en silence.
« Souviens toi, Damien : tu voulais du réel, et je t'ai donné bien plus. Maintenant, rentre chez toi et repense à chaque seconde, car tu ne retrouveras jamais quelqu'un comme moi. »
Elle tourne les talon et remonte dans sa voiture, le laissant là, seul au milieu des arbres.

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