Chapitre 1 : La Bijouterie – Une chaîne pour marquer son appartenance
Le soleil était haut lorsque nous sommes entrés dans la bijouterie. L'ambiance feutrée et luxueuse contrastait avec la tension qui pesait sur Médor. Il marchait un pas derrière moi, les yeux baissés, conscient de chaque mouvement. Sous ses vêtements, ma marque était omniprésente : une cage de chasteté garnie d'orties et un string noir inconfortable, rappel constant de son rôle.
En entrant, je balayai la boutique d'un regard avant de m'avancer vers le comptoir.
MS : "Bonjour, pouvez-vous me montrer vos chaînes en or ? Je cherche quelque chose de long et élégant", ai-je demandé à la vendeuse d'un ton ferme.
Elle s'exécute rapidement, déposant plusieurs modèles sur un velours noir. Pendant qu'elle s'affairait, je me retournai vers Médor, qui se tenait parfaitement immobile.
MS : "Médor, qu'est-ce que tu espères de cette chaîne ?"
Il hésite un instant avant de murmurer :
s: "Qu'elle montre au monde que je vous appartiens, Maîtresse."
Je souris légèrement, amusée.
MS : "C'est exactement ça. Mais n'oublie pas : elle est pour moi, pas pour toi. Elle symbolise mon contrôle, pas ton confort."
J'ai choisi une chaîne délicate mais solide, parfaite pour porter les clés de sa cage. Je les fis glisser sur le comptoir, attirant l'attention de la vendeuse.
MS : "Ces clés y seront attachées. Je dois toujours les avoir à portée de main."
La vendeuse était intriguée, mais ne pose aucune question. Pendant ce temps, Médor sortit son portefeuille avec une lenteur calculée, comme pour s'assurer que chaque geste était irréprochable.
MS : "Rappelle-toi, un chien ne paie jamais pour lui-même sans ma permission", lui dis-je avant qu'il ne finalise l'achat.
s : "Oui, Maîtresse", répondit-il humblement.
La chaîne autour de mon cou scintillait à la lumière. Elle marquait une étape supplémentaire dans notre relation : un symbole tangible de son dévouement absolu.
Chapitre 2 : Le Restaurant – La faim d'obéissance
Après la bijouterie, je l'emmene dans un restaurant. Médor marchait un pas derrière moi, ses mouvements légèrement raidis par l'inconfort des orties. La salle, élégante et animée, offre le cadre parfait pour tester sa soumission.
Une fois installée, je lui impose immédiatement les règles :
MS : "Dos droit, mains sur les genoux, et regarde-moi pendant tout le repas. Pas un mot sans ma permission."
s : "Oui, Maîtresse," répondez-il doucement, s'installant comme je l'avais ordonné.
Le serveur arrive pour prendre notre commande, et je pris soin de montrer qui était en charge.
MS : "Un verre de champagne et le filet de bœuf pour moi", dis-je avant de me tourner vers Médor avec un sourire moqueur. "Et rien pour lui, il se contentera d'observer."
Le serveur, un peu surprise, jeta un regard à Médor, qui baissa immédiatement les yeux. Pendant que j'attendais mon plat, je lui adressai un sourire calculé.
MS : "Tu sais pourquoi je mange et toi pas, Médor ?"
s : "Parce voix que c'est un privilège, Maîtresse, et je dois mériter le droit de partager un repas avec vous", murmura-t-il, sa chargée d'humilité.
Quand mon plat arrive, je savourais chaque bouchée lentement, en prenant soin de lui rappeler son rôle. À un moment, je prends une gorgée de champagne, puis crachai raisonnablement dans son verre d'eau avant de lui tendre.
MS : "Bois", ordonnai-je.
s : "Merci, Maîtresse", dit-il en prenant le verre avec respect, buvant sans hésitation.
Il baissa légèrement les épaules, trahissant un instant de relâchement.
MS : "Redresse-toi immédiatement, Médor", dis-je avec une fermeté calme. "Crois-tu que je tolérerai une posture négligée en public ?"
s : "Pardon, Maîtresse. Cela ne se reproduira pas", répondit-il rapidement, se redressant aussitôt.
Le repas se termine sur cette note, et je lui tendis l'addition avec un sourire amusé.
MS : "Paie. Et souviens-toi, ce n'est pas ton argent. Tout ce que tu as m'appartient."
s : "Oui, Maîtresse", dit-il en réglant l'addition avec un mélange de gêne et de fierté.
Chapitre 3 : La Boulangerie – Une dévotion sucrée
Après le restaurant, je décide qu'il méritait une autre épreuve, cette fois dans un cadre plus intime mais tout aussi public : une boulangerie. Les lieux étaient animés, et je savais que cela amplifiait son humiliation.
Je choisis deux éclairs au chocolat et me tourne vers lui avec un sourire exigeant.
MS : "Demande-les pour moi. Et précise bien : 'Pour Maîtresse'."
Il rougit légèrement mais obéit sans protester.
s : "Pour Maîtresse, deux éclairs, s'il vous plaît", dit-il à la boulangère, sa voix un peu tremblante mais obéissante.
La boulangère, intriguée, lui lance un regard curieux avant de sourire. Je récupérais les éclairs et, en sortant, lui glissai à l'oreille :
MS : "Bien joué, Médor. Mais ce n'était qu'un échauffement."
Chapitre 4 : Retour dans la Salle de Jeux – Le festin de la Maîtresse
De retour dans ma salle de jeux, je m'installai confortablement, mes cuissardes en cuir posées sur son dos, qui me servaient de table basse. J'observe un instant son humilité avant de commencer mon festin.
MS : "Tu es une table parfaite, Médor", dis-je en prenant mon premier éclair.
s : "Merci, Maîtresse, je suis heureux de vous être utile", répondit-il avec dévotion.
Chaque bouchée était accompagnée d'un claquement de fouet sur ses fesses. Pas assez pour le marquer, mais suffisamment pour rappeler qu'il était là pour mon plaisir.
MS : "Sais-tu pourquoi je fais ça, Médor ?"
s : "Oui, Maîtresse. Pour me rappeler ma place, et que tout ce que je fais est pour vous satisfaire."
Quand vint son tour, je pris son éclair et l'écrasai sous ma botte.
MS : "Lèche-le", ordonnai-je.
Il obéit, se mettant à genoux pour nettoyer ma botte avec sa langue, mêlant les restes sucrés à la saleté de la semelle.
MS : "Regarde-toi, Médor. Même un dessert peut devenir une leçon d'humilité entre mes mains."
Chapitre 5 : Une Soumission Gravée
À la fin de cette journée, je savais que Médor avait été poussé à ses limites, mais toujours avec un désir brûlant de me satisfaire.
MS : "As-tu appris quelque chose aujourd'hui, Médor ?"
s : "Oui, Maîtresse. J'ai appris que ma place est à vos pieds, et que chaque humiliation me rapproche de ce rôle que je suis fier de tenir."
Je souris, satisfaite. Médor, mon soumis dévoué, avait prouvé une fois de plus qu'il était digne de rester sous mon contrôle. Et moi, j'avais savouré chaque instant de son obéissance totale, sachant qu'il en redemanderait bientôt...

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